L’Hôtel Plaza Athénée et Art Photo Expo Production présentent « Plaza Fashion Spirit » !!
Du 21 septembre au 14 novembre 2018, la Cour Jardin de l’Hôtel Plaza Athénée accueille en son sein l’exposition « Plaza Fashion Spirit », co-organisée par Art Photo Expo, producteur d’expositions thématiques depuis 2006 !!
Fort de son positionnement Haute Couture et de sa situation privilégiée sur l’avenue Montaigne, à proximité des plus grandes maisons de Couture, l’Hôtel Plaza Athénée est heureux d’accueillir l’exposition « Plaza Fashion Spirit ».A l’occasion de la prochaine Fashion Week parisienne cette exposition orchestrée par Art Photo Expo, réunira neuf artistes – qu’il s’agisse de photographes dont la renommée est internationale ou de jeunes artistes contemporains – dont les oeuvres ont un même dénominateur : l’esprit couture.
Ainsi, l’on trouvera dans la Cour mythique de l’hôtel quelques grands formats photographiques de Greg Lotus pour Versace ou de l’ artiste britanique Simon Procter, réalisés à l’occasion de défilés de Stella Mac Cartney ou Chanel Haute Couture, entre autres.
Mais aussi une production photo mettant en scène la top modèle Linda Evangelista pour Thierry Mugler par Thierry Le Goues.
On y découvrira également une sélection de photos vintage des années 50 et 60 d’artistes de renommée internationale, contributeurs d’ELLE magazine, Harper’s Bazaar, VSD, Vogue… : Georges Dambier nous dévoile un portrait de Brigitte Bardot place François 1er ou bien encore deux photos de mannequins vêtues de Nina Ricci ou de Givenchy pour le ELLE.
Dior est immortalisé dans l’iconique série : Bubble réalisée par Melvin Sokolsky.
L’Hôtel Plaza Athénée est lui aussi starifié par Jacques Faith,…
Un peu plus loin, une série en noir et blanc du photographe Fabien Mara rend hommage aux icones tant aimées du public et du monde de la mode : Carla Bruni en Pierre Balmain, Yves Saint Laurent observant son défilé dans les coulisses, Karen Mulder lors du défilé de Jean Louis Scherrer Couture,…
Enfin, deux artistes urbains viennent compléter cette exposition de photos avec leurs créations : Mr Brainwash propose ses iconités de la mode sur ces fonds de graffitis tandis que Vincent Faudemer, jeune artiste plasticien, habille son Babolex (une sculpture inspirée de Babar) de tenues symbolisant l’esprit de chaque maison.
Un véritable défilé d’artistes, à decouvrir absolument !!A PROPOS DE SIMON PROCTER
Navigant entre photographie, architecture et peinture classique, l’artiste britannique Simon Procter, immortalise les shows majestueux des Maisons de Couture tels que Chanel, Dior, Givenchy, Lagerfeld, Prada, Stella McCartney..
Conquis par ses prises de vues audacieuses et la beauté de son travail, les grands créateurs lui ouvrent les portes souvent inaccessibles de leurs univers.
Positionné parfois à plus de 100 mètres de hauteur, Simon Procter sublime ces événements et l’architecture de ces sites monumentaux, qui se fardent, pour quelques heures, aux couleurs des plus grandes marques de luxe.
Le Grand Palais, l’Opéra Garnier, le Carrousel du Louvre, le Cirque d’Hiver, Time Square… deviennent des lieux de mises en scène où la création et l’imagination n’ont plus de limites. Durant Art Basel Miami de 2007, Simon Procter rencontre ses premiers succès auprès des collectionneurs du monde entier.
Il publie un livre intitulé Modeland une compilation d’un vaste ensemble de travaux couvrant plusieurs années.
C’est une documentation unique sur les défilés de mode. Modeland a également été le premier projet majeur du photographe et a commencé sa longue relation avec les influents éditeurs du magazine New York Stephen Gan et James Kaliardos de Visionaire.
Le travail de Modeland a été exposé au Art Basel Miami en 2007 et 2008 et se déroule dans les principaux musées et collections du monde entier.A PROPOS DE GREG LOTUS
Greg Lotus est un photographe de mode américain qui a shooté pour plusieurs magazines de modes comme Vogue Italie, Vanity Fair ou W.
Mais il réalise aussi des campagnes de pub pour les plus grandes marques.
Il commence sa carrière de photographe à 20 ans.
S’il arrive aussi bien à capturer sur photographie ses modèles photo, c’est parce qu’il a lui-même pu se retrouver devant la caméra comme mannequin, pendant son adolescence.
Cependant, n’appréciant pas ce côté-ci de l’objectif, il se mit à prendre des photographies.
Aujourd’hui, il réalise toujours des couvertures de magazines et des campagnes de publicité. Il cherche maintenant à tendre vers une photographie plus artistique destinée à être exposée dans des galeries.A PROPOS DE THIERRY LE GOUES
Thierry Le Gouès a commencé sa carrière dans la photographie de mode, notamment avec des campagnes de publicité et des shootings de mode pour des magazines tels que Vogue, Glamour, Harper’s Bazaar, Hermès, Saint Laurent ou Moschino.
Ses tirages photographiques acquis par de nombreux collectionneurs et célébrités, ont fait l’objet d’une grande visibilité à travers les médias, les films, les festivals et les foires internationales.
Sa série de photographies Amazone est une collaboration entre l’artiste et Paco Rabanne, le célèbre styliste.
Paco Rabanne a mis à disposition du photographe, des robes provenant des archives de la marque de mode.
Le Gouès a décidé de travailler avec des mannequins noires venues de la nouvelle génération, car il recherche le contraste entre leur peau noire et la brillance des lamelles métalliques de robes Paco Rabanne.
C’est dans un paysage lunaire que ces Amazones sont mises en avant par l’artiste. Thierry Le Gouès a réalisé un véritable travail sur les jeux de lumière, sur le métal mais aussi sur les peaux de ces femmes.A PROPOS DE MELVIN SOKOLSKY
Melvin Sokolsky est né et élevé à New York en 1933 ou il débute sa carrière en tant que photographe de nature morte.
Il débute sa carrière chez Harper’s Bazaar en 1959 à l’âge de 21 ans.
Le travail de Melvin est particulièrement influencé par l’art : les surréalistes Paul Delvaux, Salvador Dali, Francis Picabia et les maîtres flamands tels que Jan Van Eyck,Rogier Van der Weyden, Jérôme Bosch et Pieter Brueghel.
Comme dans la peinture de Balthus, il s’intéresse au mouvement du corps sous les vêtements, à la femme devant l’objectif plutôt que la mode.
La série « Women in Bubble » réalisée lors des collections printemps à Paris en 1963 pour Harper’s Bazaar est l’une de ses plus célèbres réalisations.
L’inspiration lui vient du souvenir d’un tableau de Jérôme Bosch : Le jardin des délices, dans lequel on peut observer des personnages dans des bulles transparentes.
Il ne reste plus qu’à trouver les astuces pour que la magie opère.
Melvin se rend à Long Island pour faire fabriquer les bulles en plexiglas par des ingénieurs en aéronautique, des sphères de plastique jointes en laissant suffisamment d’espace entre les deux parties pour pouvoir laisser passer l’air.
Le système de charnières, s’inspire des oeufs de Fabergé avec des articulations situées sur le haut de la bulle afin de permettre un accès facile au mannequin.
Les bulles sont suspendues à une grue par des câbles d’aéronef dont il fait disparaître la trace en grattant le négatif de la pellicule créant l’illusion parfaite.
Du côté du casting, il s’agit de trouver des modèles qui supporteraient d’entrer dans la bulle sans paniquer ni souffrir de claustrophobie et c’est naturellement vers son modèle fétiche, Simone d’Aillencourt que le photographe se tourne.
Bulles en plexiglas dérivant sur la Seine, modèles devenues minuscules en les plaçant à côté de meubles gigantesques…référence à Alice aux pays des merveilles, mannequins en lévitation, mobilier fixé au plafond renversant l’apesanteur et nombreux portraits de célébrités sont autant de clichés qui ont marqué l’histoire de la photographie.A PROPOS DE GEORGES DAMBIER
Né à Paris en 1925, Georges Dambier est pendant la Guerre, l’élève du célèbre peintre et affichiste Paul Colin qui lui enseigne le graphisme et lui donne le goût de la décoration, de la mode, des jolies femmes et de la vie parisienne.
Après la Libération, il devient l’assistant de Willy Rizzo, photographe de talent auprès duquel il découvre un nouvel art, dont il apprend bientôt à maîtriser les subtilités et plus particulièrement l’utilisation de la lumière.
Dans le Paris de l’après-guerre, âgé de 20 ans, Georges Dambier photographie la vie nocturne et les réjouissances mondaines désormais en pleine explosion et se fait le témoin de la vie du « Tout-Paris », ses célébrités, ses lieux à la mode, ses fêtes brillantes.
Des clichés de Rita Hayworth négociés contre une place permanente de reporter photographe à France Dimanche vont lancer sa carrière professionnelle.
Bien que passionné par l’actualité, le jeune photographe préfère néanmoins capter le glamour, et saisir la vie dans tout son éclat, son raffinement.
Son goût du graphisme et sa capacité à restituer la réalité avec une rare élégance le mènent à la photo de mode.
En 1952, il est remarqué par Hélène Lazareff, fondatrice de Elle, qui lui donne sa chance et publie son premier reportage de mode.
C’est avec son accord et son soutien qu’il lance le concept avant-gardiste de « touriste-photographe ».
Il s’agit de partir avec une équipe complète (mannequins, rédactrice de mode, coiffeur, styliste…) pour photographier des modèles de Haute Couture dans des lieux de villégiature tels que l’Italie, le Maroc, la Corse, la Yougoslavie, le Brésil.Georges Dambier saisit des femmes vêtues de robes magnifiques dans un cadre original: au milieu du désert, dans un marché de village, sur un bateau et surtout dans l’agitation de ce Paris qu’il adore.
Il est l’un des premiers en France à faire sortir les modèles des studios et il n’hésite pas à libérer les mannequins des poses figées et des attitudes stéréotypées, en défendant néanmoins une exécution exigeante. Au début des années 50, Georges Dambier ouvre son propre studio.
Indépendant, il travaille toujours pour Elle mais aussi pour les principaux magazines de mode (Vogue, Marie France, l’Express et enchaîne les grandes campagnes de publicité Il réalise également des affiches de spectacles et des pochettes de disques et tout le show-business des années 60 passe ainsi devant son objectif.
En 1964, Georges Dambier se lance dans un projet très personnel et crée TWENTY, mensuel destiné aux jeunes et dédié à la mode et à la culture mais cette aventure ambitieuse ne durera que deux ans.
Son ami Maurice Siegel fait appel à lui en 1976 et ils créent ensemble VSD pour lequel Georges Dambier se voit confier la direction artistique et réalise le fameux logo.
A la fin des années 80, Georges Dambier abandonne la presse et rejoint sa maison de famille dans la Périgord pour en faire un hôtel de charme et donner libre court à sa passion de la décoration ou il décède en 2011.A PROPOS DE FABIEN MARA
Fabien Mara est un photographe français, notamment connu pour ses clichés pris dans les coulisses des défilés de mode dans les années 90.
Il est le premier photographe à avoir publié un livre sur le sujet en 1998.
Ce qui pousse Fabien Mara vers la photographie, c’est une rencontre.
La rencontre avec une réalisatrice de Condé Nast qui lui propose un poste d’assistant de réalisation photos au sein du groupe de presse américain.
Il découvre alors un monde qu’il s’imaginait secret et mystérieux, le monde des shootings photos.
Voir les images défiler quotidiennement devant ses yeux fait naître en lui l’envie d’être celui qui les capture.
Il devient donc par la suite réalisateur photos et photographe pour un célèbre magazine indépendant et met les voiles à New-York.
Là-bas, il travaille avec les plus grands : Arthur Elgort, Michel Comte et Bert Stern pour ne citer qu’eux.
Ayant travaillé pendant 7 ans dans les coulisses des défilés de mode à l’époque des “supermodels”, les femmes sont naturellement au coeur de l’oeuvre de Fabien Mara.
Ne se cantonnant pas au monde de la mode, il a également photographié différentes personnalités du milieu artistique, actrices et artistes.
L’oeuvre de Fabien Mara lui a valu de nombreuses expositions en France à Paris, mais aussi à Taïwan, à Bogota ou encore à Prague.
Il a exposé ses travaux à Paris Photo et à la Fiac, et figure parmi les collections de la Maison Européenne de la Photographie ainsi que dans de nombreuses collections privées.
Son travail a également fait l’objet de nombreuses publications, notamment “ Dans les coulisses de la Mode” publié en 1998.A PROPOS DE VINCENT FAUDEMER
Vincent Faudemer est un artiste plasticien français originaire de Normandie.
Autodidacte et entrepreneur dès l’âge de 21 ans, il se nourrit de ses voyages et des cultures qui l’entourent.
Tandis que sa grand-mère lui transmet le gout des objets grâce à sa collection de bronze religieux, Vincent découvre, dès son plus jeune âge, le travail de la matière, du moulage et comprend rapidement que la création est une grande source d’apaisement personnel.
Collectionneur et passionné par l’Art contemporain, notamment l’Art urbain, il imagine une sculpture s’inspirant du personnage de Babar accompagné d’une célèbre marque de montre au poignet.
C’est ainsi qu’il définit, à sa manière, le parfait contraste entre l’enfance et l’insouciance face au symbole du luxe et de la réussite actuelle.
Il décline cette création « Babolex » sous le signe des grandes Maisons de Coutures qui incarnent, elles aussi, l’esthétisme, la mode et le luxe.
Quelques semaines après l’apparition de Babolex sur les réseaux sociaux, des personnalités et clients du monde entier se manifestent auprès de l’artiste pour acquérir ce personnage singulier et sympathique.
Vincent présente au Plaza Athénée en exclusivité, cette série Babolex-Dior, Gucci, Chanel, Louis Vuitton pour l’exposition « Plaza Fashion Spirit ».A PROPOS DE BRAINWASH
Mr. Brainwash, de son vrai nom Thierry Guetta est né près de Paris, à Sarcelles, en 1966.
A l’âge de 15 ans il s’installe à Los Angeles avec son père, ses frères et soeurs après le décès de leur mère.
Vidéaste et artiste pop art, il réalise principalement des oeuvres au pochoir et des graffitis.
Il a suivi les cours du Fairfax High school pendant environ un an, mais a abandonné le lycée pour organiser des événements à Hollywood.
Il se met alors à vendre des vêtements vintages à Los Angeles, New York et Miami.
C’est en 1999 qu’il a le déclic pour l’univers du street art, lors d’un voyage en France où il se rapproche de son cousin, qui n’est autre que l’artiste de rue parisien Space Invader.
Passionné par la vidéo, Thierry Guetta se met alors à filmer toutes les escapades de graffeur à ses côtés, accompagnés d’autres artistes de rue, tels que Shepard Fairey ou Wevs. À ce moment-là, les vidéos n’ont pas pour vocation à être montrées.
Il se met alors à pratiquer le graff à son tour et devient Mr.Brainwash.
Son univers se compose d’un mélange entre les pochoirs de Banksy et les imageries de Andy Warhol.
En 2009, il rencontre l’artiste britannique Banksy et l’aide à lancer son exposition Barely Legal à Los Angeles, un événement qui a suscité l’intérêt des célébrités et des collectionneurs d’art.
Les deux artistes décident ensuite de réaliser un documentaire sur l’univers des street artists, jusqu’à là entouré de mystère.
Les images tournées auparavant vont alors être montées et montrer Invader, Banksy et Mr. Brainwash lui-même à l’oeuvre.
De cette collaboration est né le docu-fiction Exit through the Gift Shop (ou Faites le Mur), nominalisé pour un Oscar, qui est présenté en 2010 au Sundance Film Festival.
Le film présente l’ascension météorique de Mr. Brainwash sur la scène de l’art urbain, et ses oeuvres vendues pour des sommes astronomiques, comme son portrait de Jim Morrison, vendu pour 100.000 $, ou celui de Charlie Chaplin estimé à 50.000 $.
Après le succès du film, les oeuvres de Mr. Brainwash deviennent de plus en plus prisées.
Mais l’Histoire peut être prise également à l’inverse.
S’il a été démontré que Mr.Brainwash n’est pas un personnage fictionnel, il est bel et bien monté de toutes pièces par ce film.
La fiction a rattrapé le réel, faisant de Mr.Brainwash un véritable acteur du marché de l’art.
HÔTEL PLAZA ATHENEE
25, avenue Montaigne
75008 Paris
Tél.: 01.53.67.66.65A PROPOS DE DORCHESTER COLLECTION
Dorchester Collection regroupe quelques-uns des plus beaux hôtels au monde situés en Europe et aux Etats-Unis. S’appuyant sur son expérience inégalée et son aptitude en matière d’acquisition et de gestion de joyaux de l’hôtellerie, la mission de Dorchester Collection est de développer un portefeuille hôtelier irréprochable. L’objectif est en effet de regrouper les plus beaux hôtels du monde en acquérant directement ses propriétés, en assurant le management des hôtels, qu’ils aient été acquis de manière partielle ou totale, ou bien encore en dirigeant ceux-ci par contrat de gestion. Dorchester Collection regroupe actuellement 9 hôtels : The Dorchester, Londres; 45 Park Lane, Londres, Coworth Park, Ascot, UK; Le Meurice, Paris; Hôtel Plaza Athénée, Paris; Hotel Principe di Savoia, Milan; Hotel Eden, Rome; The Beverly Hills Hotel, Beverly Hills; and Hotel Bel-Air, Los Angeles.
www.dorchestercollection.com
A PROPOS DE ART PHOTO EXPO
Art Photo Expo Production est une Société créée en 2006 aux USA. Son activité principale est de promouvoir l’art contemporain sous toutes ses formes. De Art Basel Miami à de grandes entreprises internationales, Art Photo Expo propose ou produit des thématiques d’exposition à la demande qu’ils véhiculent au travers d’expositions souvent itinérantes. De la photographie d’art à la sculpture, Art Photo Expo Production manage plus de 80 artistes dans le monde. Les experts et conseils en Art Contemporain de Art Photo Expo conseillent les plus grands collectionneurs sur l’acquisition de masterpieces ou les jeunes collectors pour leur première acquisition.www.artphotoexpo.com
Crédits photos : Dorchester Collection & Hôtel Plaza Athénée & D.R
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