Nouveau restaurant au Victoria 1836, imaginé par Sarah Lavoine et une carte créée par Alexandre Auger
C’est dans la chaleur de l’été 1836 que fût posée la dernière pierre de l’Arc de Triomphe, trente ans après que Napoléon 1er ait déclaré à ses soldats : « Vous ne rentrerez dans vos foyers que sous des arcs de triomphe».
En lieu et place du Restaurant de l’Arc, presque deux ans après sa fermeture, une nouvelle Maison voit le jour au premier étage de l’hôtel particulier du 12 rue de Presbourg.
Loin du tumulte et de la fête, le restaurant, Victoria 1836, a choisi les codes et les valeurs du luxe parisien, résolument tourné vers le style et l’élégance, avec grâce et caractère.
Courage et ambition seront au diapason et même sur son blason… La preuve, du matin au soir, Victoria 1836 sera sur le pont. petits déjeuners, déjeuners, salon de thé l’après midi, dîners et rendez- vous au bar seront autant de réjouissances quotidiennes et d’occasions d’y prendre ses quartiers.
L’etats des lieux :
12 rue de Presbourg, c’est bien là… Après un accueil feutré… digne de votre rang, vous arpenterez les quelques marches qui vous mènent au premier. Entrez, laissez-vous absorber par le bar au plafond incurvé qui pourrait bien vous faire tourner la tête, mais Dieu soit loué, sans vous la faire perdre totalement…
A l’horizon, pierres de tailles, boiseries, hauteur de plafond et tables basses se laissent bercer, tant par la lumière du jour que par les lueurs de la place de l’Etoile. en vous approchant, laissez- vous envahir… et faîtes vôtre ce premier sentiment grisant : la victoire pourrait bien vous sourire. Car la grande salle s’ouvre à vous, avec ses rangées de tables ordonnées sur le champ, comme pour mieux vous servir.
Honni soit qui mal y pense, outre réveiller et satisfaire pleinement vos papilles, un peu comme si nous avions lu dans vos pensées, la salle de bibliothèque et sa cheminée mettent le reste de vos sens en émoi. Au diable les principes, mais comme c’est bon de savoir vivre. Posez-vous, savourez, dégustez, reposez-vous… Et comme rien ne vous échappe, vous comprendrez que le piano à queue qui trône au milieu des lieux n’est pas arrivé là par hasard. Quant à l’épaisseur de la moquette sombre, sa principale vertu, c’est de rendre vos pas encore un peu plus délicats.
Sarah Lavoine, un ange passe:
Ses vagabondages multiculturels et son goût parisien, affirmé, raffiné, exigeant et curieux du monde, avaient déjà tapé dans l’œil de Benjamin patou qui lui avait confié, en 2011, l’aménagement du pavillon Vendôme. Trois ans plus tard, il lui renouvelle sa confiance en lui proposant de l’accompagner pour la création du restaurant Victoria 1836.
Alexandre Auger, un peu plus pres des etoiles :
Depuis dix ans, il œuvre un peu plus près des… trois étoiles de Yannick Alléno, au Meurice, où il a gravi les échelons avec succès. premier commis en 2004, il devient rapidement chef de partie pour atteindre en 2011 le rang de 1er sous chef. A 32 ans, et sous l’œil protecteur de son parrain Yannick Alleno, Alexandre Auger s’apprête à faire bouillonner son talent sur les bases d’une cuisine d’inspiration française, ouverte sur le monde.
De l’ombre à la lumière, le voici donc chef, heureux et reconnaissant d’avoir tant appris aux côtés du maître : “ la rigueur, le perfectionnisme, l’ajustement des plats, l’organisation et le management d’une équipe ! ”. il est temps de passer à table et de savourer.
Helena Noguerra, cerise sur le gâteau
On ne présente plus l’élégante Helena Noguerra, qui papillonne comme personne, d’un art à l’autre, en régalant nos yeux et nos oreilles avec talent et gourmandise…
Ses goûts et ses couleurs donneront le La et feront l’ambiance musicale du Victoria, selon les instants du jour et de la soirée.
Informations Pratiques :
Victoria 1836
12, rue de Presbourg
75016 Paris
Tel : +33 (0)1 44 17 97 72
Restaurant ouvert tous les jours sauf dimanche et samedi midi
Commentaires récents